le blog de la vipère


La vipère littéraire


Né au mois d'octobre 2008, la vipère littéraire sévit et séduit sur un blog presque totalement consacré aux perfidies, commérages et parisianismes littéraires.
La vipère fait feu de tout bois : récemment lu une réaction à l'article des Inrokuptibles sur le dernier livre Bégaudeau Vers la douleur, un petit piège tendu au capitaine Haddock ( le traqueur de cacographes), mais aussi des jeux des quizz et même des critiques positives (sur le roman de Stephane Héaume)
Une seule ombre au tableau : on ne peux pas s'abonner à un flux RSS afin de recevoir sa dose de venin à domicile.
Néanmoins je souhaite longue vie à la vipère.

Commentaires

  1. Le RSS marche très bien, en tout cas avec google reader.

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  2. Bonjour, je suis d'accord c'est un bon blog à suivre (comme le votre). Vous pouvez vous abonner au flux rss par le biais de ce lien : http://vipere-litteraire.over-blog.com/rss-articles.xml

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  3. Effectivement le lien marche bien. Comme il n'y avait pas d'icône je ne suis pas allé chercher plus loin (moi pas très malin parfois).
    il n'y a donc plus rien a dire, le blog de la vipère me convient parfaitement.

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  4. Cher Bustos, enfin nous divergeons.

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  5. Pourquoi? Parce que la vipère ose ce que je m'interdit, c'est à dire la moquerie gratuite envers des gens que je n'estime pas? C'est assez jubilatoire...j'avoue même être un peux jaloux, j'avais eu la même idée que lui à propos du capitaine Haddock...mais je n'ai finalement pas voulu m'y frotter. Il l'a fait et bien fait.

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  6. Certes, Bustos... Mais sous le masque de l'anonymat, on peut tout faire...

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  7. Anonymat ?
    Il s'agit de Bernard Quiriny voyons, grand apôtre de la déontologie critique, sauf lorsqu'il s'agit d'allumer discrètement des personnes...
    Je l'explique ici : http://stalker.hautetfort.com/archive/2009/03/28/bernard-quiriny-moins-vipere-litteraire-que-lombric.html

    Quoi qu'il en soit, le procédé est effectivement minable...

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  8. Alors disons-le haut et fort...
    C'est Bernard Quiriny qui se cache derrière le masque de la vipère.
    Quiriny dont on peut lire les critiques dans le magazine littéraire, ainsi que son dernier recueil de nouvelles Contes carnivores au éditions du Seuil.

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